Mercredi matin, visite d'un haras de 44 chevaux : un Duplex IV avec rayonator HF et e-smog ont permis de constater des améliorations dans le comportement de 4 chevaux : leur box se trouvait sur un croisement négatif de réseau. Tous les cheveuax sont plus calmes depuis l'installation, mais ces 4 ont totalement changé de comportement (avant, ils tapaient les murs, étaient très nerveux).
L'utilisation du PS1000 Polar dans le soin des chevaux a réduit le coût mensuel de produits et de frais vétérinaires, de 400 € à 50 €. La propriétaire est manifestement du genre autonome, et sa formation "sur le terrain" à la biorésonance, couplée à l'intervention ponctuelle de thérapeutes ou de vétérinaires quand le problème la dépassait, lui a donné selon elle plusieurs avantages :
. la réactivité face aux problèmes : dès l'observation de comportements ou symptômes, l'outil lui permet une recherche de diagnostic préliminaire, et dans la majorité des cas, la définition d'un programme d'harmonisation d'après son expérience et le diagnostic.
. le test des aliments et compléments pour chaque cheval : elle a collecté des échantillons de poils des 44 chevaux sous ampoules, ce qui lui permet de tester la compatibilité de chacun avec les foins, ensilages, minéraux, huiles, et tous compléments minéraux. Ainsi à chaque saison (et changement d'alimentation) ou à chaque changement de produit, un test complet est très rapide à réaliser.
. le soutien au rétablissement (un cas de plaie ouverte dont la cicatrisation a été accélérée)
. la prévention : l'apparition d'une maladie est détectée et harmonisée chez un cheval, et l'ensemble des autres est aussi harmonisée préventivement. Elle a vu des cas de maladies contagieuses qui auraient normalement du se transmettre, et qui ne l'ont pas été.
L'après-midi, visite d'une ferme à cochons de 200 bêtes. Ici, le fermier traite les cochons avec un PS10 connecté à un détecteur plongé dans la réserve d'eau. En préventif, le programme défini par un vétérinaire spécialisé est lancé une fois par semaine pendant 12 heures (ainsi, on est sûr que chaque cochon aura bu une fois au moins). Le programme est modifié selon les conseils du vétérinaire spécialiste, selon l'expérience du fermier, en fonction des saisons, et des maladies qui peuvent se présenter ou qui sont détectées. (Chaque matin, une simple écoute lui permet de faire un première analyse de l'état des animaux : il voit donc immédiatement l'effet des programmes en quelques heures).
Une fois, deux cochons sont morts. Il a demandé à un vétérinaire de faire une analyse en laboratoire, et a lancé le programme correspondant. Aucun autre cochon n'est mort, contrairement au pronostic vétérinaire (maladie contagieuse).
Un des ses collègues élève des poulets dans 5 enclos. Chaque enclos est régulièrement contrôlé pour les salmonelles ; un enclos a été trouvé positif et tous les animaux ont été abattus. Le collègue devait probablement abattre tous les autres dans les semaines suivantes. Quitte à tout perdre, autant essayer des choses bizarres : le problème devait à coup sûr se répandre dans les autres, d'après le vétérinaire.
Un PS10 a servi à faire un programme sur des minéraux donnés ensuite à manger aux poulets des autres enclos. Quelques jours après, le test de salmonelles était négatif. Les autres enclos étaient donc sauvés.
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La plupart des autres fermiers le regardent comme 'fou, mais pas dangereux'. Les économies réalisées sont intéressantes, mais d'après lui, moins que les problèmes liés aux changements d'habitude et au regard des autres, pour la plupart d'entre eux. Il essaie toutefois de les convaincre et leur montre volontiers ses résultats, ses économies et ses gains.
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Jeudi, rencontre avec un vétérinaire pratiquant depuis 15 ans la bio-résonance. Par un forfait annuel, il s'occupe de fermes entières, et propose des réponses adaptées aux demandes des fermiers, et aux différents outils qu'il a. Ses résultats en prévention grâce à la bio-résonance lui ont permis d'augmenter considérablement sa clientèle.
Pour les animaux de ferme, de nombreux parasites (virus, bactéries etc.) spécifiques au monde animal sont désormais intégrées dans le RAH (symbole (V) ). Suite à une analyse en laboratoire, ou à un test direct (sur animal, sur poils, ou sur excréments), il est possible de concevoir un programme préventif approprié, qu'on donne ensuite :